UN DES MAITRES LES PLUS EMBLÉMATIQUES DU POLAR MÉDITERRANÉEN.
DEL PAPPAS poursuit avec fougue sa chronique d’un demi-siècle de Marseille.
À le lire d’autres évoquent “Montalban, Camilleri, ces auteurs de la Méditerranée qui inventent une littérature policière sensuelle, où l’on mange et où l’on transpire dans la moiteur marine et les parfums lourds des villes écrasées de soleil” LIRE
GRAND PRIX LITTÉRAIRE DE PROVENCE pour l'ensemble de son oeuvre.
GRAND PRIX DE LITTÉRATURE POLICIÈRE D'AUBUSSON.
À Marseille, il paraît que pour faire une bonne bouillabaisse, il suffit de lever une girelle frétillante, d’ajouter un vieux pêcheur corse, son pointu, le soleil et quelques belles calanques. À mi-cuisson, jetez dans le bouillon un flic psychopathe, un Noir Marron véreux, une introuvable mine d’or et deux, trois meurtres sanglants ! Et moi, Constantin dit le Grec, j’étais loin d’imaginer l’engambi monstre que ça allait donner, même la Bonne Mère n’avait jamais vu ça !
Le 25 novembre 1956, Ernesto Guevara dit le « Che » prépare ses hommes au grand soir de la Révolution. En 1970, sexe, drogue et rock’n’roll. Constantin, alors jeune photographe de presse, débarque avec ses acolytes au festival de l’île de Wight afin de flasher quelques stars déjantées. C’est l’époque qui veut ça ! Photos volées ? Photos perdues ? C’est à Lille et presque dix ans plus tard qu’elles réapparaissent, provoquant une invraisemblable et sanglante embrouille, mêlant services secrets et hommes d’honneur sous le regard protecteur d’un fantôme mythique..
Constantin, dit Le Grec, met les voiles ! Au programme de cette balade initiatique, traversée de l’Atlantique en compagnie d’une girelle tanquée comme là-bas, sieste sous les tropiques ad libitum, escale chez les aimables Indiens Galibis et ti punch à volonté... Tout vire au cauchemar pendant le carnaval de Cayenne, meurtres rituels, poursuite dans la mangrove, touloulous menaçants et pour finir, espions russes en mission sur le Vieux Port ! Le Grec nous entraîne alors, en un crescendo haletant, dans ce Marseille qu’il aime tant, jusqu’à l’impensable profanation, le sacrilège suprême...
Quand Constantin, de retour d’un voyage initiatique en Amérique du Sud en compagnie d’une girelle énamourée, arrive chez lui, à Marseille, il n’a qu’une envie : sieste, farniente, petite bouffe et méditation. C’est sans compter sur la scoumougne qui va, sans prévenir faire sortir du bois, une bande de sans-papiers rwandais en perdition, une escouade de flics en maraude et bien pire, un couple de cinglés assoiffés de chair et de sang, véritables fantômes du Palais de Justice. Il faudra, à Constantin, mobiliser toutes ses forces et sa rage de vivre pour surfer à dix pieds sous terre sur ce lac plein de mystères !
Dans cette engatse, fatche de con, ils m’ont tous pris pour un fada, un vrai jobi… Faut dire que tout était réuni pour un Noël de galère…! Ma girelle violoncelliste partie au bout du monde, le boulot qui n’était plus qu’un souvenir et le vent… un vent à décorner les taureaux. Même que… quand le mistral souffle comme ça, à Marseille, tout le monde s’attend au pire… Et là, question embrouilles, j’allais être servi. Nervis municipaux, intimidation, magouilles immobilières, racket, flingueurs tout droit sortis d’un film de série B, illuminés adorateurs de Satan, coups fourrés, fions et bugnes… Bref le pastisson qui me tombait sur la tête était de nature à faire regretter à n’importe quel Grec d’être né à Marseille!
De retour de son exil dans les îles grecques, Constantin dit le Grec retrouve Marseille avec l’envie de bouléguer sa vie ! Pêcheur il sera ! Mais attirant les embrouilles comme dégun, Constantin se retrouve au centre d’une incroyable engatse qui, de l’Estaque à l’Amérique du Sud, en passant par les camps de concentration, va réveiller de vieux démons. Fidèle à lui-même et avec l’aide de l’ami Féfé, c’est au lance-flammes que l’affaire se réglera... parce qu’ici, il y a des choses avec lesquelles on ne plaisante pas !
Si le «Parigot» n’avait pas volé cette camionnette, Constantin n’aurait jamais fait cette répugnante découverte… Une horreur ! Mais… il n’aurait pas non plus rencontré la belle et mystérieuse Tatiana, qui se jette dans sa vie comme on se jette à l’eau. Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Quel rapport entre ce vieux cargo qui rouille dans le port et ces cinglés qui martyrisent les minots ?
Égal à lui-même, le Grec entraîne ses séides aux trousses d’un gang de trafiquants pédophiles. Les digues du port en tremblent encore !
De retour à Marseille après un long périple en Orient, Constantin dit Le Grec n’a qu’une idée en tête : farniente, girelle et bonne humeur... Mais Le Grec qui ne laisse jamais tomber un ami enragué se retrouve brutalement embarqué dans une sombre et machiavélique embrouille. Dans le milieu des années 70, le LSD qui commence à envahir la ville, aiguise l’appétit de quelques malfrats sans morale prêts à toutes les bassesses pour se remplir les poches.Constantin aidé de sa bande ne recule devant rien. Il va affronter rapteurs d’enfants, médecin véreux et tueur psychopathe dans une hallucinante course sanglante.
Évidemment, quand après une longue période niasqué dans l’alcool, Constantin dit « Le Grec », se met en tête d’aider sa jolie et frêle voisine, vous pouvez être sûrs que le début des embrouilles n’est pas loin ! La scoumoune je vous dis ! Bien sûr, ni l’un ni l’autre ne pouvait imaginer que ces dossiers étaient susceptibles de faire « sauter » la République… Ils ne se doutaient pas non plus que la moitié des services secrets serait à leur poursuite afin de récupérer ces papiers que le « Vieux » avait amassés depuis si longtemps…
De retour de New York, Constantin dit “Le Grec” prépare nonchalamment son expo photos, encore sous le charme d’une blonde torride. Il se retrouve alors, incidemment pris sous les feux croisés des nervis de l’Ordre du Temple et d’une bande de Chinois Shaolin venus récupérer coûte que coûte un incunable mystérieux qui cache bien son jeu...
Tout avait si bien commencé... la plage dans cette chaude couleur orangée du soleil couchant, le sel sur la peau, les amis, les oursins, hummm les oursins... jusqu’à ce que ce vieux cargo rouillé frôle la côte.
Et là, c’est toute l’Afrique qui allait violemment en surgir. Le Rwanda, ses gris-gris, les machettes, les Hutus et les Tutsis... Le génocide. Une très sale Histoire.
Heureusement Constantin dit «Le Grec», est toujours là, sensible à la détresse humaine, surtout quand celle-ci prend l’apparence d’une jolie gazelle...
Le 25 novembre 1956, Ernesto Guevara dit «le Che» prépare ses hommes au grand soir de la Révolution.
En 1973, sexe, drogue et rock’n’roll. Constantin, alors jeune photographe de presse, débarque avec ses acolytes au festival de l’Île de Wight afin de flasher quelques stars déjantées. C’est l’époque qui veut ça!
Photos volées, photos perdues, c’est à Lille et presque dix ans plus tard qu’elles réapparaissent, provoquant une invraisemblable et sanglante embrouille, mêlant services secrets et hommes d’honneur sous le regard protecteur d’un fantôme mythique...
Rien n’est jamais simple à Marseille. Et surtout pas quand Constantin dit “Le Grec”, de retour d’un reportage tourmenté dans une Afrique en guerre, saute dans un taxi, en descendant de la Gare Saint Charles! On est à la fin des années 60... Et le Grec ne rêve alors que de calme, de soleil, de sel sur la peau et de désirs partagés avec une jolie girelle... Mais la putain de sa race maudite! Rien ne se passe jamais comme prévu... la rouquine qui tombe des nues, le taximan qui joue les gros bras, les sbires d’une mafia sans visage qui tuent, enlèvent et détruisent tout, même l’amour! Alors c’est là, con de Manon, que tout a basculé. Le Grec amoureux lève une armée de fidèles pour sauver sa belle et en profite discrètement, pour anéantir la vermine qui ruine la ville. Putain, Marseille tu me tues...
De retour de New York, Constantin dit “Le Grec” prépare nonchalamment son expo photos, encore sous le charme d’une blonde torride. Il se retrouve alors, incidemment pris sous les feux croisés des nervis de l’Ordre du Temple et d’une bande de Chinois Shaolin venus récupérer coûte que coûte un incunable mystérieux qui cache bien son jeu...
Si le « Parigot » n’avait pas volé cette camionnette, Constantin n’aurait jamais fait cette répugnante découverte… Une horreur !
Mais… il n’aurait pas non plus rencontré la belle et mystérieuse Tatiana, qui se jette dans sa vie comme on se jette à l’eau.
Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Quel rapport entre ce vieux cargo qui rouille dans le port et ces cinglés qui martyrisent les minots ?
Égal à lui-même, le Grec entraîne ses séides aux trousses d’un gang de trafiquants pédophiles. Les digues du port en tremblent encore !
À Marseille en 1967, Gaston Defferre inaugure le tunnel sous le Vieux Port. Cette année-là, les Stones explosent la scène de l’Arsenal devant une meute de fans en délire. C’est aussi à cette époque que la dope commence à ravager la ville. Constantin, lui, vient juste d’avoir 17 ans... Lycée, poker entre amis, girelles enamourées, virées en boîte et bains de mer réparateurs. La vie, quoi!
Sauf qu’à fourrer son nez partout, à vouloir sauver la veuve et l’orphelin, le Grec va se retrouver face à une bande de nervis qui veulent lui faire passer le goût de la photo...
De retour à Marseille après un long périple en Orient, Constantin dit Le Grec n’a qu’une idée en tête : farniente, girelle et bonne humeur...
Mais Le Grec qui ne laisse jamais tomber un ami enragué se retrouve brutalement embarqué dans une sombre et machiavélique embrouille.
Dans le milieu des années 70, le LSD qui commence à envahir la ville, aiguise l’appétit de quelques malfrats sans morale prêts à toutes les bassesses pour se remplir les poches.
Constantin aidé de sa bande ne recule devant rien. Il va affronter rapteurs d’enfants, médecin véreux et tueur psychopathe dans une hallucinante course sanglante.
Putain, la vie était trop belle !
La mer, le soleil, le farniente...
Mais Constantin, dit le Grec, n’a jamais eu de bol avec les girelles.
Et là, il en suffira d’une pour semer une engatse comac chez les notables marseillais !
Que s’est-il donc passé en 43 dans les vieux quartiers de Marseille ?
Qui a intérêt aujourd’hui à déterrer ces vieilles haines ?
Face à une bande de cacous qui veulent lui faire passer le goût de la sardine, Constantin va plonger tête baissée
dans une embrouille plutôt glauque, surgie du néant.
A Marseille, ville d’ombre et de lumière, la tragédie n’est jamais très très loin...
Naples, Istanbul, Kaboul, Bamyan... Constantin en avait si souvent rêvé...
Fuyant Marseille qui l’étouffe, il s’embarque début 73 vers l’Orient à bord du ferry qui rallie Istanbul.
Sur le bateau, Wola, une jolie blonde énigmatique, lui crame immédiatement le coeur et l’entraîne de Grèce en Afghanistan dans le sillage des révolutions qui font alors trembler la région.
La route sera longue et homérique. Mais Constantin ne manque ni de ressources ni d’imagination pour se sortir des traquenards et affronter aux côtés des moudjahiddins, les barbouzes, la CIA et les pilleurs de tout poil.
Rien n’est jamais simple à Marseille. Et surtout pas quand Constantin dit “Le Grec”, de retour d’un reportage tourmenté dans une Afrique en guerre, saute dans un taxi, en descendant de la Gare Saint Charles! On est à la fin des années 60... Et le Grec ne rêve alors que de calme, de soleil, de sel sur la peau et de désirs partagés avec une jolie girelle... Mais la putain de sa race maudite! Rien ne se passe jamais comme prévu... la rouquine qui tombe des nues, le taximan qui joue les gros bras, les sbires d’une mafia sans visage qui tuent, enlèvent et détruisent tout, même l’amour! Alors c’est là, con de Manon, que tout a basculé. Le Grec amoureux lève une armée de fidèles pour sauver sa belle et en profite discrètement, pour anéantir la vermine qui ruine la ville. Putain, Marseille tu me tues...
À Marseille en 1967, Gaston Defferre inaugure le tunnel sous le Vieux Port. Cette année-là, les Stones explosent la scène de l’Arsenal devant une meute de fans en délire. C’est aussi à cette époque que la dope commence à ravager la ville. Constantin, lui, vient juste d’avoir 17 ans... Lycée, poker entre amis, girelles enamourées, virées en boîte et bains de mer réparateurs. La vie, quoi!
Sauf qu’à fourrer son nez partout, à vouloir sauver la veuve et l’orphelin, le Grec va se retrouver face à une bande de nervis qui veulent lui faire passer le goût de la photo...
GRAND PRIX LITTÉRAIRE DE PROVENCE - GRAND PRIX DE LITTÉRATURE POLICIÈRE D'AUBUSSON
À Marseille, il paraît que pour faire une bonne bouillabaisse, il suffit de lever une girelle frétillante, d’ajouter un vieux pêcheur corse, son pointu, le soleil et quelques belles calanques. À mi-cuisson, jetez dans le bouillon un flic psychopathe, un Noir Marron véreux, une introuvable mine d’or et deux, trois meurtres sanglants!
Et moi, Constantin dit le Grec, j’étais loin d’imaginer l’engambi monstre que ça allait donner, même la Bonne Mère n’avait jamais vu ça!
Constantin, dit Le Grec, met les voiles!
Au programme de cette ballade initiatique, traversée de l’Atlantique en compagnie d’une girelle tanquée comme là-bas, sieste sous les tropiques ad libitum, escale chez les aimables Indiens Galibis et ti punch à volonté...
Tout vire au cauchemar pendant le carnaval de Cayenne, meurtres rituels, poursuite dans la mangrove, touloulous menaçants et pour finir, espions russes en mission sur le Vieux Port!
Le Grec nous entraÎne alors en un crescendo haletant, dans ce Marseille qu’il aime tant, jusqu’à l’impensable profanation, le sacrilège suprême...
Dans cette engatse, fatche de con, ils m’ont tous pris pour un fada, un vrai jobi…
Faut dire que tout était réuni, pour un Noël de galère…! Ma girelle violoncelliste partie au bout du monde… le boulot qui n’était plus, qu’un souvenir… et le vent… un vent à décorner les taureaux… même que… quand le Mistral souffle comme ça, à Marseille, tout le monde s’attend au pire… !
Et là, question embrouilles, j’allais être servi: nervis municipaux, intimidation, magouilles immobilières, racket, flingueurs tout droit sortis d’un film de série B, illuminés adorateurs de satan, coups fourrés, fions et bugnes…
Bref le pastisson qui me tombait sur la tête était de nature à faire regretter à n’importe quel Grec d’être né à Marseille.
Putain, la vie était trop belle ! La mer, le soleil, le farniente… Mais Constantin, dit le Grec, n’a jamais eu de bol avec les girelles. Et là, il en suffira d’une pour semer une engatse comac chez les notables marseillais !
Que s’est-il donc passé en 43 dans les vieux quartiers de Marseille ? Qui a intérêt aujourd’hui à déterrer ces vieilles haines ?
Face à une bande de cacous qui veulent lui faire passer le goût de la sardine, Constantin va plonger tête baissée dans une embrouille plutôt glauque, surgie du néant. À Marseille, ville d’ombre et de lumière, la tragédie n’est jamais très très loin…
● GRAND PRIX LITTÉRAIRE DE PROVENCE
● GRAND PRIX DE LITTÉRATURE POLICIÈRE D'AUBUSSON
À Marseille, il paraît que pour faire une bonne bouillabaisse, il suffit de lever une girelle frétillante, d’ajouter un vieux pêcheur corse, son pointu, le soleil et quelques belles calanques. À mi-cuisson, jetez dans le bouillon un flic psychopathe, un Noir Marron véreux, une introuvable mine d’or et deux, trois meurtres sanglants!
Et moi, Constantin dit le Grec, j’étais loin d’imaginer l’engambi monstre que ça allait donner, même la Bonne Mère n’avait jamais vu ça!