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Actu LES NOUVEAUTÉS JIGAL POLAR EN VIDÉO
« Présentées par l'éditeur himself, voici les nouveautés Jigal Polar de février : du bon, du très bon… » |
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Actu
BESO DE LA MUERTE de Gilles Vincent la chronique Le Noir Emoi
« Gilles Vincent comble son lecteur par son savoir-faire… il déroule avec brio le fil d’une histoire passionnante… Je suis littéralement sous le charme de l’écriture de cet auteur qui utilise à merveille la matière première essentielle de l’écrivain, les mots.»
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BESO DE LA MUERTE de Gilles Vincent la chronique de UN POLAR
"En choisissant comme toile de fond cette période cruciale de l’histoire de l’Espagne contemporaine, qui a suscité tant de drames et de si intenses émotions des deux côtés des Pyrénées, Gilles Vincent a bâti une histoire d’une grande richesse, émouvante et cruelle, complexe et passionnante".
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DJEBEL de Gilles Vincent la chronique Jack is back again
« L’intrigue est remarquable et intelligente en diable. Ce bouquin se lit quasiment d’une traite tant il est difficile de le refermer… Faites-vous plaisir : ruez-vous chez votre libraire ou extirpez toutes affaires cessantes Djebel de votre pile à lire : ce polar est juste génial ! »
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DJEBEL de Gilles Vincent la chronique sur Les Polars de Marine
« Djebel, c’est la souffrance, la rancœur, la haine, la peine. Djebel, c’est une écriture concise, tranchante, sans fioritures inutiles, un style irréprochable. Djebel, c’est l’Émotion avec un grand « E ». Djebel, c’est un formidable roman noir »
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DJEBEL de Gilles Vincent, la chronique de K-LIBRE
« Un monument aux vivants »
« Toute la réussite du roman de Gilles Vincent consiste justement, à travers des personnages crédibles et décrits avec soin, à incarner dans le concret des vies de chacun la façon dont les mensonges individuels ou collectifs ont modifié, perturbé, transformé les parcours de chacun et comment, à un moment ou à un autre, l'on peut se trouver confronté à la rude réalité des faits. »
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DJEBEL de Gilles Vincent, la chronique de Passion Bouquins
« Un roman efficace autant en termes de d’action et de suspens, que dans la qualité de la construction de l’histoire, de la psychologie des personnages et du ton du bouquin en général. La fin est à la hauteur aussi, ce qui vraiment ne gâte rien.»
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DJEBEL de Gilles Vincent, la chronique des Vendanges Tardives
« Djebel frappe par le caractère à la fois sensible et efficace de son écriture. En restant toujours au service de son intrigue - pas de longueur, aucune rupture de rythme, tout est fluide dans ce livre - Gilles Vincent donne l'impression de prendre son temps tout en ne perdant jamais de vue son objectif. Les descriptions sont à la fois concises et imagées, parfois presque poétiques, les personnages complexes et spontanés. On en redemande. »
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DJEBEL de Gilles Vincent, la chronique du Temple du Polar
« Outre un récit bien structuré, la qualité majeure de ce roman réside dans des descriptions aussi fines que fortes, à tel point que l'on se sent proche des personnages et des situations. Autant de raisons suffisantes pour découvrir ce livre et en savourer la lecture. »
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ET LA MORT SE LÉVERA de Jacques Olivier Bosco la chronique d'Albertine pour UN POLAR
« Le plus terrible dans cette histoire, ce ne sont pas ces traques sanglantes, ces hommes explosés, dégoulinants de sueur, de pisse, de merde et de sang, et surtout de terreur. Non, le plus terrible c’est que JOB oblige le lecteur à avoir envie que s’accomplisse cette horreur. Et moi lectrice qui ai horreur de l’horreur, il m’a fait me vautrer dedans. »
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HYENAE de Gilles Vincent COUP DE COEUR de BLACK NOVEL
« Attention coup de cœur ! Un grand thriller… Je reste ébahi par tant de talent ! Une intrigue solide, un style efficace… Le problème, c’est que Gilles Vincent a de l’endurance, alors, quand vous arrivez à la dernière scène, vous êtes groggy, mais pas encore KO… Pas encore … jusqu’à cette putain de dernière scène. Un roman dur comme la pierre, avec du sang dessus. C’est violent sans être sanglant, c’est glaçant sans être démonstratif. Gilles Vincent nous offre là un voyage au bout de l’horreur parfait, de ceux que l’on ne peut pas oublier. Coup de cœur ! »
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HYENAE de Gilles Vincent la chronique France Net Infos
« Les Editions Jigal Polar frappent fort avec la sortie de Hyenae de Gilles Vincent qui nous présente les nouvelles aventures de la commissaire marseillaise Aicha Sadia… Un polar digne d’un thriller de Stephen King… avec le même degré de suspens et d’effroi que le mythique Silence des agneaux… une enquête ficelée à la perfection »
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HYENAE de Gilles Vincent la chronique de 813
« Voilà un roman qui va vous essouffler, vous martyriser les neurones et vous mettre la larme à l'œil. Pas de cadeau, tous de payer leur tribut. L'enfer est bien sur terre, Gilles Vincent le confirme. Plus machiavélique tu meurs, c'est ce qui se passe d'ailleurs.»
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HYENAE de Gilles Vincent la chronique de Au Pouvoir Des Mots
« Et là, c’est d’une putain de justesse, pas un pet de travers, pas une farce parisienne avec accent, pas la moindre fausse note, les flics sont des flics, les truands des truands, les tarés, des tarés ! Pas de happy end, pas de morale à la con, pas de colère inutile, le monde obscur sur les rives de la Méditerranée »
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HYENAE de Gilles Vincent la chronique de DBDLO
« A chaque nouveau livre de Gilles Vincent, c’est la claque, le coup de cœur assuré. Pour Hyenae, je parlerais plus d’uppercut et de coup AU cœur tant le propos est noir… La plume de l’auteur est toujours aussi majestueuse »
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HYENAE de Gilles Vincent la chronique de L'EXPRESS
« Gilles Vincent m’a scotché. Son roman est terrible… Ce qui ne change pas du début à la toute fin, c’est l’impossibilité de lâcher cette histoire… Gilles Vincent est en train de bâtir une série de romans noirs absolument bluffante… »
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HYENAE de Gilles Vincent la chronique de Passion Romans
« Bref, dans cette histoire, un sadique psychotique joue avec les nerfs des membres de la police avec une certaine délectation; l'auteur de ce polar / thriller, présentant peut-être les mêmes symptômes (?), joue méchamment avec les nôtres. »
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HYENAE de Gilles Vincent la chronique de Passion Thrillers
Une intrigue dure, très dure... Une véritable descente aux enfers... Un sentiment d'urgence qui ne s'arrête qu'à la fin... Certains auteurs nous amènent aux portes de l'enfer, Gilles Vincent franchit cette porte et nous laisse carrément en enfer: au milieu des flammes et de l'horreur absolue...
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HYENAE de Gilles Vincent la chronique de Quatre sans Quatre
« Un polar terriblement efficace à la dureté du diamant, cette affaire est sans pitié! Pas de quartier ni de sentiment pour les protagonistes de Hyenae. Plus noir que ce roman très efficace, ça ne va pas être facile à trouver. En route pour ce qui pourrait le plus ressembler à l'Enfer… »
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HYENAE de Gilles Vincent la chronique de Unwalker
« Et c’est là que réside à mon avis la grande réussite de monsieur Vincent, l’auteur disséquant avec la même rigueur les agissements d’un détraqué dont il ne nous épargne rien et les vaines tentatives des policiers pour tâcher d’y faire face. »
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HYENAE de Gilles Vincent la chronique de Zone Livre
« Ça cogne, ça saigne parfois, et ça fait mal. Plongez sans hésiter dans ce roman noir, très noir en découvrant la plume violente et prenante de Gilles Vincent. Un aller retour pour cotoyer le Mal avec un grand M et ne (peut être) pas revenir vivant d’un immonde cauchemar, trop réel pour ne pas y croire.»
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HYENAE de Gilles Vincent la chronique de Thomas Bauduret pour K-LIBRE
« On aurait pu tomber sur un énième thriller industriel, mais en deux cent dix pages, l'auteur préfère le roman (très) noir — même s'il nous offre un "méchant" terrifiant bien plus réussi que les serial killers syndiqués du thriller industriel… celui-ci fonce à cent à l'heure sans pour autant oublier les personnages avec une économie de moyen qui n'exclut pas un style faussement simple, mais d'une efficacité redoutable. »
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HYENAE de Gilles Vincent la chronique du Serial Lecteur
« Certains livres vous bousculent tellement qu’on a besoin de temps pour les assimiler et surtout pour pouvoir en parler, HYENAE en fait parti ! Le style est incisif et très convaincant, Gilles Vincent va jusqu’au bout et j’aime ça parce qu’il le fait bien et qu’il maîtrise sa plume. »
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JACQUES OLIVIER BOSCO l'interview de PASSION ROMANS
" Le Cramé, c’est mon Spiderman à moi, une sorte de super héros… avec ses problèmes et son passé. Il est incroyable… c’est pour cela qu’il nous fait frémir, et en même temps, c’est pour ça que c’est un personnage de fiction", JOB
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par Chronique du Renard
« Jacques Bablon nous offre un roman noir sur un plateau d’argent. Style tranchant, dialogues riches, rythme soutenu, il nous embarque dans un univers cynique, vif et grisant dans lequel le lecteur est instantanément pris en otage.»
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par DEALER DE LIGNES
[NOIR, STYLÉ, DÉJANTÉ, TOUT EN FINESSE… Direct, précis, avec autant de phrases chocs que de coups dans la tronche… C’est violent, brutal et même parfois un peu barge, le parfait reflet de ce monde… MAIS ON NE PEUT PLUS RÉJOUISSANT]
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par DELPH LA BIBLIOVORE
[Une pépite de 191 pages intenses. Les phrases sont comme des bolides lancés sur une route d'enfer. Enflammez-vous donc très vite pour la flamboyance de ce "Jaune soufre". Se brûler les ailes est si agréable sous la plume d'un tel écrivain. ]
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par EMMANUEL FLEURY
« Jacques Bablon ne fait pas dans la dentelle. Dès l’ouverture du livre, l’ambiance est bien là, donnant envie d’aller plus loin, de lire encore. Pas le temps de souffler, et on ne lâche pas le livre tant qu’il n’est pas terminé. Un roman noir digne des plus grands.»
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par FRANCE NET INFOS
« Rien ne parait impossible dans l’univers de Jacques Bablon qui fait des femmes des héroïnes pétries de haine et d’amour et des jeunes hommes des chevaliers des temps modernes. Avec un talent fou, Bablon élabore son récit en imaginant des personnages charismatiques avec une profondeur exceptionnelle. Le style acéré de l’auteur est redoutablement efficace et lui colle à la peau. »
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par GOLIATH
« Rien ne vaut un bon flingue pour s’absoudre de ses fantômes ! Jacques Bablon nous offre ici un scénario très proche de la vérité : il suffit de lire la presse, les gros titres des quotidiens s’en délectent souvent. C’est glauque, dénué de morale, mais tellement crédible. »
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par JACK IS BACK AGAIN
[Dans sa langue et son style inimitables, l’auteur nous propose une nouvelle variation sur la condition humaine et sur la vie. En moins de deux cents pages, il nous assomme, nous donne le bourdon et nous abandonne. Son truc à Bablon, c’est de mettre tout ça dans une centrifugeuse jusqu’à obtention de la consistance voulue et de nous servir ce cocktail unique que l’on déguste à chaque fois avec un plaisir renouvelé. ]
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par K-LIBRE
« Le style est nerveux, saccadé, sincère et efficace. L'auteur va à l'essentiel. Ses phrases et ses personnages ont ceci en commun qu'ils ne s'embarrassent pas du superflu. On est bien au milieu de ces personnages qui vont si mal. »
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par LYVRES
« Un vrai bonheur, du grand art. Ouvrir un roman de Jacques Bablon, c'est avoir l'assurance que rien ne nous fera le refermer avant sa fin. C'est un roman noir selon la définition de JB Pouy, avec du social dedans, de vrais morceaux d'humanité et de constat que notre société ne va pas si bien que cela. Jacques Bablon : quatre bouquins chez Jigal, quatre réussites.»
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par NYCTALOPES
[Une molécule de soufre volatile a la fragrance âcre et pénétrante. Elle a des vertus bronchiques mais elle repousse de même les velléités de rapprochement de nos congénères. Bablon fait mouche à chaque frappe de son stylet… Il impose son rythme et nous capte dans sa tarentelle littéraire.]
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par PASSION ROMANS
« Une histoire courte, sèche, sans chichi, avec des protagonistes au bord de la rupture. Des hommes et des femmes qui s’accrochent tout de même à tout ce qu’ils peuvent, afin d’avancer toujours un peu plus loin dans un monde qui ne pardonne pas grand-chose. Écriture nerveuse, sèche et sans concession, personnages atypiques, parfois violents, quelques fois cassés par la vie, souvent vulgaires, toujours attachants. Jacques Bablon nous raconte la vie, et elle est parfois moche pour certains. »
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par POLARMANIAQUE
« Du Bablon pur jus, pur sucre… Et ça défouraille sec dans l'univers "bablonien, ça ne se préoccupe pas de fioritures mais les personnages, bruts de décoffrage, sont vrais, sans falbalas, sans bolducs extravagants car on ne se fait de cadeau superflu!»
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par QUATRE SANS QUATRE
[Du polar qui tache, comme on aime, âpre, solide, essentiel ! Plus avare de mots, tu meurs ! Bablon, y a plus que les articles et les virgules qu'il peut économiser pour tenter d'égaler le record de parcimonie que constitue Jaune soufre. Il a dégraissé son texte jusqu'à l'os, à n'en plus livrer que l'essence, l'huile essentielle. Mais quel parfum !]
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par UNWALKERS
[Un regard acerbe sur notre société délirante… Un rythme pantelant et implacable… S’aventurer dans l’univers de Jacques Bablon, c’est entrer de plein pied dans le roman noir avec une grosse connotation sociale. C’est du direct, on va à l’essentiel, c’est violent et dénué de morale.]
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par Cassiopée pour MEDIAPART
[Cash… Comme son écriture, avec des phrases qui font tilt, qui frappent au cœur, à la tête comme autant d’uppercut… Un style inimitable qui va à l’essentiel, comme pressé par l’urgence de raconter… Lire Jacques Bablon, c’est accepter d’être bousculé, de voir « l’autre face de tous les jours… » Lire Jacques Bablon, c’est savoir que lorsqu’on commence le premier chapitre, on ira tellement à l’essentiel, que l’on ne pourra plus s’arrêter. ]
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JAUNE SOUFRE de Jacques Bablon par JMV pour ZONE LIVRE
« Des personnages toujours particuliers, torturés par la vie… Des dialogues ciselés, des situations toujours fortes… Ça fuse, ça va vite… Un roman court mais intense. A côté de la surenchère de certains polars, romans noirs, thrillers, Jacques Bablon sait et avec talent, aller à l’essentiel.»
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JIGAL POLAR EN NUMÉRIQUE
Tous les romans Jigal Polar en numérique / epub sont accessibles sur toutes les plateformes… Et entre autres sur Numilog (lien ci-dessous)
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L'HIVER DES ENFANTS VOLÉS de Maurice Gouiran la chronique du RAYON POLAR
« Maurice Gouiran confie une nouvelle fois à son héros récurrent, Clovis, la lourde tâche d’exhumer une page de l’Histoire du siècle dernier, celui des guerres, des révolutions et de la décolonisation, celui des génocides de masse, celui du triomphe de l’inhumanité, celui qui n’aura vu ni décréter le « salut commun », ni l’internationale être le genre humain.»
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L'IRLANDAIS de MAURICE GOUIRAN par ENCRES VAGABONDES
[Maurice Gouiran nous fait partager les préoccupations politiques – ou philosophiques – de son personnage. Comme dans ses autres fictions, prétextes à nous révéler quelque scandale resté caché ou peu dévoilé par l’Histoire officielle. L’écriture est claire, fine, percutante et juste ! ]
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L'IRLANDAIS de MAURICE GOUIRAN par LE RAYON POLAR
[Maurice Gouiran, conteur à la plume aussi légère que son personnage est alerte, ancre son intrigue dans les replis sordides de l’histoire contemporaine, mais à l’instar d’un Montalban la résout dans les hoquets sordides du quotidien, double niveau narratif qui constitue la marque des grands.]
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L'IRLANDAIS de MAURICE GOUIRAN par LE TEMPS - SUISSE
« Vous ne connaissez pas Maurice Gouiran? Et bien vous avez tort. Du Bloody Sunday de janvier 1972 aux meurtrières grèves de la faim de 1981, ce voyage est pour l’auteur l’occasion de revisiter un passé peut-être un peu vite enterré. Il en profite aussi pour rappeler le rôle clé joué dans ce conflit par le street art et les fameux murals utilisés comme instrument de lutte aussi bien par les catholiques que par les protestants.»
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L'IRLANDAIS de MAURICE GOUIRAN par LES CHRONIQUES DE GOLIATH
[L’auteur mêle avec bonheur la peinture, la rue, les combattants de l’IRA et, les amours du peintre pour nous offrir un thriller ciselé, où les coupables potentiels sont nombreux, autant que les raison de mettre fin à la vie d’un homme apparemment rangé. Avec l’irlandais de Maurice Gouiran, on s’embarque dans un thriller dédaléen où tout n’est qu’apparence !]
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L'IRLANDAIS de MAURICE GOUIRAN par LYVRES
[J'aime bien Clovis Narigou… J'aime sa bergerie La Varune, isolée sur les hauteurs de Marseille. Je me suis même pris plusieurs fois à rêver d'y passer du temps, tranquille, sans les bruits de la ville, juste la nature, un feu de bois et des bouquins…]
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L'IRLANDAIS de MAURICE GOUIRAN par MEDIAPART
[Ce roman est abouti, complet, intéressant. En vert et noir, il vous glisse à l’oreille les chants de la Liberté, de tous ceux qui ont cru que c’était possible et qui ont essayé… Agitation politique, trahison, mensonge, exécution, violence, rien n’a été épargné à ceux qui se battaient. Maurice Gouiran a l’art et la manière d’impliquer le lecteur dans ses récits]
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L'IRLANDAIS de MAURICE GOUIRAN par POLARMANIAQUE
[Maurice Gouiran le roi du roman noir social ! Et là, c'est la verte Erin qu'il va nous faire découvrir, notamment Belfast, ses briques et ses trottoirs mouillés et surtout son histoire secrète , violente , guerrière, ses rancœurs, ses vengeances, ses non-dits, ses préjugés, son sectarisme qui sont probablement à l'origine de cet assassinat !]
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L'IRLANDAIS de MAURICE GOUIRAN par QUATRE SANS QUATRE
[Édifiant, donc, cultivé, agréable à lire parce que semé des anecdotes de la vie de Clovis, de ses amours compliqués, de sa vie, de ses amis, de son humanité à fleur de peau, l’ensemble formant un habillage plaisant et passionnant à l’enquête toujours sérieuse à propos du sujet traité. Un excellent polar, une balade irlandaise noire comme la Stout sur les chemins du passé qui ne sont jamais sans danger...]
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L'IRLANDAIS de MAURICE GOUIRAN par THE BIG BLOWDOWN
[Avec « Franco est mort jeudi » je découvrais la plume de Maurice Gouiran, sa façon directe d’aborder les épisodes méconnus de l’Histoire, et de montrer ce qui dérange, là où d’autres se contentent de détourner les yeux. Dans ce roman il ne déroge pas à ses habitudes, et avec le même talent il nous raconte l’Histoire au travers d’une histoire. ]
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L'IRLANDAIS de MAURICE GOUIRAN par UNWALKERS
[Maurice Gouiran fait mouche une fois de plus en baladant son lecteur dans des univers variés, une exploration jamais anodine, actuelle et historique, que seul lui et quelques rares autres sont capables de faire. Si ça, c’est pas du noir sociétal !]
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LA MORT DU SCORPION de Maurice Gouiran la chronique MEDIAPART
Tout le talent de Maurice Gouiran est là : faire une « littérature populaire » (au bon sens du terme), plaisante et distrayante, sans faire de concession, en ayant le souci de tirer ses lecteurs vers le haut : faire réfléchir, distraire et informer pourraient être ses trois principes, dans l’ordre que vous voulez.
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LA MORT DU SCORPION de Maurice Gouiran la chronique de UN POLAR
" Tout le talent de Maurice Gouiran est là : écrire une littérature populaire (au bon sens du terme), plaisante et distrayante, sans faire de concession, en ayant le souci de tirer ses lecteurs vers le haut : faire réfléchir, distraire et informer pourraient être ses trois principes, dans l’ordre que vous voulez"
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LA NUIT DES BRAS CASSÉS de MAURICE GOUIRAN par LYVRES
[Un roman policier très enlevé… tant il recèle en lui tout ce que j'aime : un brin d'humour, une base historique solide qui fait un contexte fort et toujours instructif - même si, avec son héros récurrent Clovis Narigou, l'auteur va souvent plus loin dans des faits, des parties de l'histoire un peu oubliées - une histoire bien menée avec des rebondissements, des personnages originaux, parfois hauts en couleurs, des gueules quoi. ]
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LE CHAT PONSARD du juge ANDRÉ FORTIN la chronique de Jack is Back Again
Un énorme coup de cœur « Je ne voudrais pas vous bombarder d’emblée de superlatifs mais ce chat Ponsard est pour moi un énorme coup de cœur. On est dans la vraie vie, là, avec des personnages formidables d’authenticité, des gens que l’on connaît ou qu’à tout le moins nous avons déjà croisés dans nos vies respectives. Et l’histoire qui nous est contée nous agrippe et nous fascine dès les premières pages.»
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LE CHAT PONSARD du juge ANDRÉ FORTIN la chronique de Soleil Vert
« Ah quel plaisir que la plume d'André Fortin ! Cet ancien juge d'instruction reconverti dans l'écriture revient avec un roman exceptionnellement bien ficelé qui couvre toutes les facettes d'une enquête. Il faut être un sacré artiste pour faire en sorte que tous ces destins, des plus anodins au plus importants, s'entremêlent pour construire au final une histoire aboutie, cohérente. »
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LE CHAT PONSARD du juge ANDRÉ FORTIN la chronique de Un Polar
« Ce roman à l’écriture allègre et sans fioritures, qui oscille avec bonheur entre une histoire criminelle classique et une analyse psychologique ciselée, acide et sans concession, des chats comme des humains, se lit d’une traite. C’est un excellent travail de romancier, que nous fournit là André Fortin...»
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LE CRAMÉ de JACQUES OLIVIER BOSCO la chronique de ACTION SUSPENSE
« Ici, l'auteur pense aussi à Matt Damon dans “Les infiltrés” de Martin Scorcese. Et n'oublie pas d'évoquer quelques films polars appréciés des cinéphiles. L'écriture est vive et précise, se voulant “visuelle” comme on dit aujourd'hui. Ce qui, simplement, signifie que le tempo est rythmé, les rebondissements nombreux, dans une succession de scènes agitées. Un noir polar authentique, tel qu'on les aime.»
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LE CRÉPUSCULE DU MERCENAIRE de André Fortin la chronique de Joël Jegouzo
« C’est un peu ça ce roman : de vieilles histoires échouées qui n’en finissent pas de dériver… C’est mélancolique et triste et tient par la douceur des personnages plongés dans l’effroi d’une vie insane. Ne reste que la mémoire du narrateur, à la nage, toujours, toujours en chasse de cette France pourrie, la nôtre, qui chaque jour nous impose ses viles raisons. »
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LE CRÉPUSCULE DU MERCENAIRE de André Fortin la chronique de K-Libre
« André Fortin construit une intrigue habile, servie par un style qui sait manier un humour sobre et fin. En péripétie du drame, police, justice et commanditaires-bénéficiaires lointains continuent à observer, comme une parabole, en modèle réduit, de notre propre situation d'Occidentaux qui regardent de loin les misères de l'Afrique, tout en buvant notre chocolat chaud.»
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LE CRÉPUSCULE DU MERCENAIRE de André Fortin la chronique de Cassiopée pour UN POLAR
« L’auteur, ancien juge d’instruction, juge pour enfant, vice-président de tribunal…. a le ton juste. Il connaît les différents rouages de ce qu’il décrit et ne s’embarrasse pas de fioritures. Rien ne semble lui faire peur, il écrit comme sont les événements, bruts de décoffrage. C’est sans doute ce ton sincère qui donne une réelle valeur à ce roman. »
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Le diable n'est pas mort à Dachau de Maurice Gouiran par The Big Blowdonw
NOIR, VIOLENT, EFFRAYANT [ C’est un roman noir, violent. Il nous incite à la réflexion sur des dérives qui, à la lumière des soubresauts agitant notre monde, pourraient devenir à nouveau d’une brûlante actualité. Maurice Gouiran, en observateur éclairé de notre temps, et des excès d’un passé pas si lointain, nous met en garde et nous incite à la vigilance. ]
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Le diable n'est pas mort à Dachau de Maurice Gouiran par Cassiopée pour Un Polar
« Comme un boomerang qui démarre dans le présent, part dans le passé et vous revient en pleine face ici et maintenant… C’est un plaidoyer pour la vie, pour rester attentifs et empêcher les dérives, pour agir et pour parler car se taire… c’est cautionner… Maurice Gouiran me bouleverse, il me laisse le cœur en vrac à chaque fois. Il bouscule mes certitudes, et il me fait avancer car je ne peux que partager encore et encore ce qu’il évoque afin que rien ne tombe dans l’oubli… »
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Le Printemps des corbeaux de Maurice Gouiran / Lecture-Écriture
« En tous les cas, amoureux de Marseille ou pas, il faut lire les romans de Maurice Gouiran, toujours excellents et intelligents qui au pire rappellent l'histoire de notre pays et au mieux nous l'apprennent de la manière la plus agréable qui soit, la lecture de polars. »
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Le Printemps des corbeaux de Maurice Gouiran lu par Encres Vagabondes
« Ce roman plein de rebondissements est une histoire des années 80 dans l’Histoire glauque de Marseille des années 40. De lettre de délation en lettre de délation on contemple la bassesse de nombreux humains quand un système les encourage à être vils. À lire pendant une campagne électorale pour en trouver tout le sel. »
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Le Printemps des corbeaux de Maurice Gouiran par Black Novel
« Et c’est là toute la valeur de ce roman qui allie une excellente intrigue à un fond historique, qui donne une prise de conscience sur ce que l’Homme est capable de faire, sur ces petits actes de lâcheté qui ont de grandes conséquences. Maurice Gouiran a écrit un grand polar »
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Le Printemps des corbeaux de Maurice Gouiran par Nyctalopes
« Maurice Gouiran dans son attachement à sa cité des Bouches du Rhône nous délivre, de nouveau, un écrit fort paré d’un emballage engageant, attractif. En mettant en place des personnages à la croisée de leurs existences, il structure un récit tout à la fois frais, sombre en lien avec les agissements de chacun au décours du conflit de la seconde guerre mondiale, et nous replonge dans cette année 81, son printemps, où espoir symbolisait le maître mot d’une génération. Noir est le Corbac, coloré est le printemps ! »
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Le Printemps des corbeaux de Maurice Gouiran par Quatre sans Quatre
« Maurice Gouiran nous propulse avec art dans cette époque si particulière… C'est un roman noir, l'action, le suspense, les rebondissements sont là, du début à la fin… Ça meurt un peu autour de lui, violemment. On apprend toujours des tas de choses en lisant Maurice Gouiran, Le Printemps des Corbeaux ne fait pas exception, il confirme la règle, et quel conteur ! Impossible de lâcher le texte.»
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LES 12 JIGAL POLAR(S) de L'ÉTÉ
« On savait les Editions Jigal occupés à tracer leur petit bonhomme de chemin dans la jungle de l’édition policière. Force est de constater qu’elles progressent désormais à marche forcée, alignant les bons livres comme les mauvais garçons multiplient les crimes. » BSC NEWS
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LES NOUVEAUTÉS de FÉVRIER 2012 en VIDÉO
"Et l'été finira" de Maurice Gouiran, "Le Chasseur de lucioles" de Janis Otsiemi, "Les Auteurs du noir face à la différence" Collectif, "Le Cramé" de Jacques Olivier Bosco.
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LES NOUVEAUTÉS en VIDÉO
Le Paradoxe du cerf-volant de Philippe Georget, Pitié pour Constance d'André Fortin, La nuit des bras cassés ET Franco est mort Jeudi de Maurice Gouiran
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Actu
les polars du soleil à lire absolument cet été
« Les excellentes éditions JIGAL publient des polars qui se déroulent en grande partie dans le Sud. Avec les villes de la Méditerranée comme lieu d’action, je vous propose une sélection de trois polars à lire absolument cet été, frissons garantis. »
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LES TALENTS JIGAL POLAR 2014
Des polars, des romans noirs, des talents singuliers, des prix littéraires, des nominations, des chroniques très enthousiastes, ce sont les auteurs Jigal Polar 2014
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Les Vrais durs meurent aussi de Maurice Gouiran la chronique de C'est Contagieux
« Le mistral souffle sur la Canebière, les olives se dégustent avec délectation, les boissons ont un goût anisé, les hommes qui ont soif parlent avé l’accent du Midi et les anciens légionnaires se font buter… Une bien belle galerie de personnages. Incarnés avec de la gouaille et tonitruants. Du genre a résonner longtemps dans la caboche. Un Jigal ? Quel régal !»
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Les Vrais durs meurent aussi de Maurice Gouiran la chronique de K-Libre
« Servi par une écriture fluide et un style qui sait rendre vivantes les émotions des personnages ou les sensations, Maurice Gouiran évite de s'appesantir sur les différents crimes et même sur les tueurs qui restent en retrait de l'histoire car, au final, c'est quand même l'humanité, une humanité fragile, vacillante mais présente, qui subsiste.»
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Les Vrais durs meurent aussi de Maurice Gouiran la chronique de Un Polar
« Le propos principal de Maurice Gouiran tourne autour d’un fait méconnu car honteux…L’état a longtemps mis sous silence le camp des déracinés Vietnamiens, des Indochinois à l’époque, des femmes qui mariées avec des militaires, ont été parquées (à Ste Livrade) avec leur famille, père mère et enfants… »
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LOUPO de JACQUES OLIVIER BOSCO la (superbe) chronique de la Revue Éléments
« Bosco rend tous les honneurs à la noblesse prolétaire de la littérature populaire avec ce polar dur et cruel mené au rythme des douilles vides qui rebondissent à terre. Il faut des cojones pour dédier un polar à Léo Malet ou André Héléna, et du coffre littéraire pour assumer derrière. Mesdames, je vous le dis : JOB, c'est un vrai mec ! »
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LOUPO de JACQUES OLIVIER BOSCO la chronique de C'est Contagieux
« Oh putain, elle claque ton écriture Bosco ! Elle est sèche, affûtée, file des mandales et roue de coups les estomacs. Elle s’adresse viscéralement aux tripes et tabasse le chaland sans concession. Dès les premières pages, les premières lignes, ca clique, ca claque, ca percute. »
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LOUPO de JACQUES OLIVIER BOSCO la chronique de DBDLO
« C’est la première fois, où, dès la première page, j’ai eu la certitude que je tenais entre les mains un livre dont j’allais me rappeler un long moment. Loupo c’est une déflagration qui vous vrille les tympans, un cri qui vous soulève les tripes.»
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LOUPO de JACQUES OLIVIER BOSCO la chronique de Joël Jegouzo
« Une pietà ! Le roman de Bosco s’ouvre sur une pietà ! Une image forte, culturelle, soignée, qui va conditionner bientôt toute la composition littéraire, l’ordonner, en pétrir la matière… Social ce polar ? Diagnose du mal des cités ? Pas le moins du monde…! »
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LOUPO de JACQUES OLIVIER BOSCO la chronique de PASSION POLARS
« Disons le tout de suite pour que ce soit clair. » Loupo » est tout simplement le meilleur roman que j’ai lu jusqu’ici chez les éditions JIGAL ! Et pourtant la palette de cette maison d’édition est riche en couleurs et en plumes talentueuses ! Il signe ici un roman remarquable de maîtrise et d’intelligence. »
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LOUPO de JACQUES OLIVIER BOSCO la chronique de Passion Romans
« Quel rythme! Cela ne s'arrête pas, ce n'est pas de l'écriture que nous cède l'auteur, c'est un cri… La haine, l'amitié, l'amour, la vengeance, la fierté, la trahison, la peur et la mort; l'auteur nous envoie tout cela en vrac, sans retenu, dans ce récit noir et désespéré.»
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LOUPO de JACQUES OLIVIER BOSCO la chronique de Paul Maugendre
« Bien installé sur le siège arrière de la moto, avec Loupo aux commandes, ou JOB, je ne sais plus trop car tout c'est déroulé si vite, je me suis payé une virée qui restera marquée dans mes annales de lecteur. A fond la caisse, limitation de vitesse bafouée; nous avons franchi allègrement la ligne jaune… »
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LOUPO de JACQUES OLIVIER BOSCO la chronique de UNWALKERS
« JOB a passé l’espace hyper temps, job est de retour avec un polar du 21 eme siècle. La verve et l’écriture visuelle s’est amplifiée, il est dans l’époque, et c’est du tout bon. Une nouvelle écriture est née, une façon de conter, il va falloir faire avec et que les autres se mettent à la page. »
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LOUPO de JACQUES OLIVIER BOSCO la chronique de Thomas Bauduret pour K-Libre
« mais il est actuellement peu d'auteurs au monde qui osent une écriture aussi viscérale qui, comme le disait Mickey Spillane, prend le lecteur par les cojones dès la première phrase, le happant dans son tourbillon pour le rejeter vaguement groggy avec l'impression d'avoir reçu un direct à l'estomac, puis en pleine tronche. »
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LOUPO de JACQUES OLIVIER BOSCO la seconde chronique de UNWALKERS
« Pour narrer ce brutal pan de vie d’un truand quand même très supérieur au malfrat lambda, Jacques-Olivier Bosco fait montre d’un réalisme absolu, tant dans la maîtrise de son petit monde (on trouve notamment dans ce petit bijou de très beaux personnages féminins) que dans son style de pur flingueur. Il va sans dire que des polars de ce calibre, on en redemande.»
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MAIS DÉLIVREZ-NOUS DU MAL de MAURICE GOUIRAN la chronique de La Cause Littéraire
« Le style incisif, ironique, la capacité de passer, sans aucune fausse note, d’une description bucolique des alentours de la montagne Sainte-Victoire, d’une nature qui fleure le thym, l’iris sauvage, la corbeille d’argent, à celle des positions acrobatiques des ébats fusionnels d’un couple d’amants, ajoutent au plaisir gourmand que l’on prend à lire ce roman.»
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Maudits soient les artistes de Maurice Gouiran la chronique de Nyctalopes
« La lecture, vallonnée comme la garrigue du piémont Marseillais périphérique, escarpée comme les calanques, demandant une dose d’abnégation pour atteindre la beauté de la nature et ces mirifiques havre de quiétude, nous détournera de nos quotidiens mornes par la lumière méditerranéenne, l’alternance d’une sémantique chantante, voire gouailleuse parsemée du patois local, et d’une rigueur historique dans cette tragédie de la thématique traitée. L’auteur allie, donc, couleurs chaudes et tons chromatiques plus nuancés pour notre plus grand plaisir. Vivifiant et rappel historique ! »
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Maudits soient les artistes de Maurice Gouiran la chronique du Rayon Polar
« Explorateur acharné des heures sombres du passé, Maurice Gouiran confit à son héros, adepte de la gent féminine et des momies au Beau Bar, la lourde et délicate mission d’éloigner le lecteur d’un des autres trou noirs qui plane dans l’espace-temps, celui qui guette la mémoire, qui l’engloutit et l’empêche à tout jamais d’effectuer son travail de justice. »
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Maudits soient les artistes de Maurice Gouiran lu par Alissash pour France Net Infos
« Jigal Polar publient la dernière merveille de Maurice Gouiran : Maudits soient les artistes, une plongée dans la période tourmentée de la seconde guerre mondiale et un de ses nombreux épisodes noirs : le pillage d’oeuvres d’art par les nazis. Maurice Gouiran nous happe par la justesse des descriptions, la profondeur des personnages et une trame narrative toujours aussi élaborée.»
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Maudits soient les artistes de Maurice Gouiran par Black Novel
Que ce soit ce roman ou un autre, je ne peux que vous conseiller de découvrir cet auteur pas comme les autres, qui vient sans cesse se renouveler et déterrer des drames passés que l’on aurait tendance à tort d’oublier. Parce que c’est toujours bien ! Avec Maurice Gouiran c'est l’assurance de passer un bon moment et d’apprendre des choses. Son dernier roman en date est une nouvelle fois une réussite.»
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NOMINÉS
L'été tous les chats s'ennuient de Philippe Georget et Et la mort se lèvera de Jacques Olivier Bosco SÉLECTIONNÉS pour le prochain Prix du Festival Polar de Serre Chevalier
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Nu Couché sur fond vert de Jacques Bablon lu par Nyctalopes
« L’auteur a ce don, par une accroche minimaliste, sans esbroufe, de déterminer un décor, une atmosphère universels ne possédant ni unité de lieu, ni précisions superfétatoires. Il vous guide à l’essentiel, sanctifie le miel d’un travail littéraire dépossédé des oripeaux superflus d’un conte méritant l’ascèse, méritant une dose de fleur de sel qui convient à nos appétences de lecteurs. On cherche la moelle et on la trouve dans cet écrit précis surtout pas la mise en valeur de personnages dans leur dimension d’histoire de vie. »
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Nu Couché sur fond vert de Jacques Bablon par Goliath
« Ce nouveau roman de Jacques Bablon reste fidèle au style de l’auteur : le polar noir, un peu plus sombre que ses précédents livres, mieux ciselé et, d’une intrigue survolant les générations comme un sort implacable. Un roman qu’on ne lâche pas »
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Nu Couché sur fond vert de Jacques Bablon par Jack is Back Again
« Mais où donc va-t-il chercher son inspiration ? Que ce soit dans Trait bleu ou Rouge écarlate, Jacques Bablon nous racontait déjà deux histoires dingues, insolites et carrément extraordinaires. » L’histoire se suffit à elle-même, ce sont les sentiments, les émotions, les réactions des personnages qui lui donnent son tempo, élevé d’ailleurs. Jacques Bablon une nouvelle fois surprend jusque dans le final de cette histoire de dingues à laquelle on croit dur comme fer. »
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Nu Couché sur fond vert de Jacques Bablon par Passion Polar
« Encore une fois, l’auteur atteint son objectif, et le lecteur qui a eu la chance de lire ses deux premier romans ne manquera pas d’apprécier celui-ci. Avec ses titres marqués de couleurs, Jacques Bablon nous offre de très beaux romans noirs, et il devient incontestablement une valeur sûre des éditions Jigal en général, et de ce genre littéraire en particulier. »
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Nu Couché sur fond vert de Jacques Bablon par le Rayon Polar
[ Grâce une syntaxe économe, pour un style percutant, Jacques Bablon conte un triple fait divers qui se pare des valeurs de l’universel, parce que l’universel est constitué de ces hasards, de ces aigreurs sordides, de cette violence extrême, mais aussi de cet amour croisé sur les hautes cimes ou ailleurs… de ces « parce que c’était lui, parce que c’était moi » ]
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PARJURES de Gilles Vincent la chronique du RAYON POLAR
« Gilles Vincent est de cet acabit, de celui des grands conteurs, de celui qui, partant de brins épars d’histoires, vous lie l’ensemble et vous livre un polar au goût raffiné, un polar qui vous colle aux mains sans jamais vous lasser l’esprit.»
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PITIÉ POUR CONSTANCE un roman d'André FORTIN sur HEMCEL
Polar politique, polar tragique, ancestral et moderne qui porte dans sa plume les plus antiques stigmates du combat. Parce que notre société n'a plus pour droit que celui de se conformer ou de se plier, Fortin lance un cri, prenez votre butin, mais pitié, n'achevez pas l'idéal ! © Frédéric Poilbout - Hemcel
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PITIÉ POUR CONSTANCE un roman d'André FORTIN sur JAZZ et POLAR
Avec constance, et quitte à défriser quelques grincheux qui n’acceptent pas que nos hommes (et femmes) politiques au pouvoir soient montrés sous leur vrai jour, André Fortin nous invite une fois de plus à le suivre dans son introspection dans les arcanes d’affaires d’état inavouables. Bien sûr, tout ce qui suit n’est que fiction, et friction, mais il n’est pas interdit de penser que sous l’intrigue se cachent des faits qui pourraient éventuellement se dérouler.
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PITIÉ POUR CONSTANCE un roman d'André FORTIN sur le RAYON POLAR
Mais tout ceci n’est que fiction et Constance n’a jamais existé, seul existe un polar dense et poignant, un cri d’amour confiant, car : "Ils ont un drapeau noir, En berne sur l'Espoir, Et la mélancolie, Pour traîner dans la vie, Des couteaux pour trancher Le pain de l'Amitié "
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PUTAIN DE PAUVRES de MAURICE GOUIRAN la chronique des RUE 89
« Un polar social efficace, dérangeant, réaliste, qui dénonce la réalité de la vie marseillaise. On est bien loin ici des mièvreries de « Plus belle la vie ! l’auteur dénonce ici un malaise social inhérent à la société française : la montée de la paupérisation, la stigmatisation de ceux qui en sont les premiers atteints, ainsi que l’exploitation politique et financière de ce malaise.»
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QARAQOSH de MAURICE GOUIRAN par BLACK NOVEL
« On a droit à un polar costaud, à la mesure de ce grand auteur, qui nous donne à chaque fois l’impression qu’il improvise, comme dans la vraie vie, sans jamais donner l’impression de forcer. La lecture n’en est que plus plaisante et définitivement addictive. À lire évidemment, pour apprendre et être moins con. »
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QARAQOSH de MAURICE GOUIRAN par L'ATELIER DE LITOTE
«Un sujet brûlant d’actualité, une question épineuse qui déchaîne les passions. L’art de faire passer informations et idées dans un roman policier qui l’air de rien se sert de cette actualité comme appui à une intrigue intelligente et tout à fait plausible. Une fin surprenante et pour tout dire réjouissante.»
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QARAQOSH de MAURICE GOUIRAN par LA PROVENCE
« Polar, espionnage et bon sens paysan sont la recette gagnante de ses récits toujours prenants et souvent voyageurs dans l'Histoire et ses détours les plus noirs. Maurice Gouiran manie l'action et le suspense avec brio… »
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QARAQOSH de MAURICE GOUIRAN par LE RAYON POLAR
[Maurice Gouiran, nourrit ce nouvel opus de la véracité des faits, que divers intérêts aimeraient occulter, mais il le nourrit aussi dans la bonne humeur et la fausse légèreté sans jamais déroger aux lois du polar.]
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QARAQOSH de MAURICE GOUIRAN par MEDIAPART
« Maurice Gouiran a le don de déterrer des faits plus ou moins passés sous silence. Il se documente, et les associe à ses intrigues avec intelligence et brio. L’écriture et le style font mouche, en peu de mots, un dialogue ou une remarque nous amènent le sourire, ou nous font réfléchir. »
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QARAQOSH de MAURICE GOUIRAN par QUATRE SANS QUATRE
[Ce roman érudit n'oublie pas pour autant les codes du polar : le suspense, l'action et les coups tordus qui se succèdent jusqu'à un dénouement très peu prévisible. Un polar documenté, passionnant, au plus près de problématiques très actuelles]
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QARAQOSH de MAURICE GOUIRAN par Bruno D WHOOZONE
« Ne pas lire Gouiran pour un amateur de roman noir serait comme si un caviste n'avait pas goûté quelques-uns des plus grands crus français. On est là dans l'excellence avec une très jolie matière (scénario), de la finesse (narrative), du corps (personnages récurrents et attachants), et une belle longueur en bouche (on se souvient toujours des questions posées et thèmes abordés dans ses romans).»
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QARAQOSH de MAURICE GOUIRAN par JMV ZONE LIVRE
« Un bon rythme, du suspens, des retournements de situations (et une fin qui laisse pantois) et une enquête menée tambour battant font de ce nouveau polar de l’auteur, un très bon moment de lecture, très divertissante. A recommander. »
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QUAND LES ANGES TOMBENT de Jacques-Olivier Bosco la chronique Des Polars de Marine
« Un récit coup de poing, des phrases qui claquent, un style incisif. Certaines phrases sonnent comme des uppercuts. Dans ce second roman de Jacques Olivier Bosco, on retrouve « la patte » de cet auteur : une écriture à la fois tendre et brutale. Ni superflu, ni détails inutiles mais un flot de sentiments en continu : amour, rage, tendresse, peur, haine, violence, désespoir, colère... Un savoureux mélange des genres. Certaines scènes pourraient sortir tout droit d’un film… Ajoutez à cela des dialogues à la Audiard et le cocktail est détonnant, voire explosif… En conclusion, un excellent roman policier qui est encore la confirmation que nous pouvons être fiers de nos auteurs Français et que la nouvelle génération d’écrivains de polars est bien présente et n’a pas fini de nous surprendre.»
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QUAND LES ANGES TOMBENT de Jacques-Olivier Bosco la chronique de Paul Maugendre
Au début le lecteur se prend une gifle bientôt suivie d'une grande claque violemment assénée, afin de lui remettre les idées en place. Et comme cela ne suffit pas, un grand bac d'eau froide lui est balancé en travers de la gueule. Mais c'est mal connaître la résistance du lecteur qui en redemande et une grosse vague se profile à l'horizon, une déferlante qui nettoie tout sur son passage annonciatrice d'un mascaret bousculant les protagonistes de ce roman et le lecteur. Enfin un maelström entraîne tout ce petit monde dans un gouffre dont ils auront du mal à s'extirper.
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QUAND LES ANGES TOMBENT de Jacques-Olivier Bosco la chronique de Stodena
« J’espère qu’à la lecture de cette chronique, vous irez l’acheter vite-fait et que vous aussi vous tomberez dans les filets ou les méandres de cette histoire pleine de rebondissements et de suspens. Ce qui est sûr c’est que les 48 heures durant lesquelles se déroule cette histoire vont défiler à vive allure »
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QUAND LES ANGES TOMBENT de Jacques-Olivier Bosco la chronique de UNWALKERS
« Cent pour cent adrénaline, ce nouveau bouquin ravira les convaincus et drainera d’autres nouveaux adeptes tant la formule action, sentiments à fleur de peau, amitiés criminelles, flingues, bagnoles est une nouvelle fois bien mixée pour offrir un cocktail très addictif, très tassé provoquant une dépendance immédiate »
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QUAND LES ANGES TOMBENT de Jacques-Olivier Bosco la chronique de Cassiopée pour UN POLAR
« Du beau, du lourd… Le texte est beau… Le texte est sobre… Le texte est pétaradant… Le rythme est vif…Ce roman m'a scotchée… Il n’y a pas qu’à l’étranger que les auteurs écrivent « du noir » de qualité. Lisez Jacques-Olivier Bosco une fois et je vous le garantis, vous y reviendrez. Il n’y a pas que chez les grands éditeurs que l’on trouve du « beau, du lourd »….D’ailleurs, Monsieur Jigal, c’est quand le prochain Bosco ? »
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QUAND LES ANGES TOMBENT de Jacques-Olivier Bosco la chronique du Collectif Polar Bibliothèque de Paris
« beau moment passé en compagnie d'un Jeune auteur qui commence à avoir une belle bibliographie à son actif. JOB alias Jacques-Olivier Bosco avec son écriture acérée et très moderne, nous en met plein la vue. Son style est à la fois percutant et tendre. Il nous prend par les tripes. Et dés que l'on plonge dans l'histoire, on est happé par un tourbillon de sentiments et on ne lâche plus ce titre avant d'en connaître la fin.»
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QUAND LES ANGES TOMBENT de Jacques-Olivier Bosco la chronique du Chat pour UNWALKERS
« L’histoire est passionnante, mais pas seulement. Elle est aussi remplie de messages subtilement adressés au lecteur, lui rappelant ainsi que la vie est courte, qu’il faut en profiter tant qu’on le peut. Il a le pouvoir surprenant de faire ressentir l’émotion en narrant des histoires de vengeance, car bien que le livre soit centré sur la haine, la vengeance, et la violence, il n’en reste pas moins que les messages adressés sont des messages de paix, d’amour, de tendresse.»
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REQUIEM POUR LE JUGE de André FORTIN la chronique de LYVRES
« On est en plein roman noir social ou sociétal. Un polar très ancré dans le vrai, sans doute encore au-dessous de la réalité qui, on le sait, dépasse toujours la fiction. Très prenant grâce au rythme, à l'écriture très plaisante d'André Fortin et au réalisme de ses intrigues.»
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Rouge Écarlate de Jacques Bablon la chronique de Bob Polar Express
« Bablon malaxe, entaille avec ses mains de bûcheron ses personnages qui semblent ne pas avoir d'avenir, seulement un présent qu'ils se prennent en pleine face. « Rouge écarlate » c'est un bulldozer sans pilote qui avance, écrabouille inexorablement... des fraises. On dirait du sang. »
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Rouge Écarlate de Jacques Bablon la chronique de Cassiopée
« L’écriture est drue, âpre, rocailleuse sous la langue mais au combien tendre malgré tout… J’ai plus qu’apprécié cette lecture, elle m’a conquise et une fois encore, je suis étonnée des pépites littéraires que la maison Jigal propose. Cet opus est noir, mais un noir qui n’oublie pas les couleurs de l’arc en ciel, vous savez, celui qui arrive toujours, avec un rayon de soleil, après l’obscurité des orages… »
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Rouge Écarlate de Jacques Bablon la chronique de Lyvres
« Cent quatre-vingt-dix pages de pur plaisir… Jacques Bablon a un style direct, épatant qui fait mouche… En peu de mots, l'auteur sait décrire des situations fortes, des personnages attachants avec leurs fragilités et leurs forces… attention, addiction assurée !»
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Rouge Écarlate de Jacques Bablon la chronique de Paul Maugendre
« Jacques Bablon, utilise son stylo comme le boucher son couteau à parer la viande. Un désosseur, ça s'appelle parait-il. Et Jacques Bablon dégraisse, dénerve, pare son texte pour ne lui en laisser que les morceaux choisis. Et malgré tout c'est nerveux comme écriture, c'est rapide, c'est sec, et une fois fini, le lecteur se rend compte qu'il vient de savourer un roman bien ficelé, juteux à souhait… »
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Rouge Écarlate de Jacques Bablon la chronique de Quatre sans Quatre
« Voilà du polar élagué qui se concentre sur l'essentiel. Pas de broussailles où se perdre, c'est du brut, du qui envoie. Un roman à fond la caisse, avec crissements des pneus à chaque virage et poursuites cataclysmiques. Attachez vos ceintures, mettez vos casques, faites ce que vous voulez mais ne ratez pas le bolide proposé par Jacques Bablon, ça secoue mais qu'est-ce que c'est bon ! Il fait désormais partie de ces auteurs dont on attend impatiemment le prochain opus. »
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Rouge Écarlate de Jacques Bablon la chronique de Zone Livre
« Un petit bijou de roman noir : court mais puissant, vif, à l’écriture rapide et tonifiante, dans une ambiance de noirceur et de désolation. Les personnages qui peuplent ce roman sont incroyablement pêchus, et débordant d’énergie ! Du rythme, des dialogues bien enlevés ! »
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Rouge Écarlate de Jacques Bablon lu et approuvé par France Net Infos
« Jacques Bablon continue dans sa lancée en technicolor avec son nouveau roman Rouge écarlate. Avant même d’en commencer la lecture, on se lèche déjà les babines. On reçoit son histoire comme un uppercut. Derrière ce style catchy, l’histoire se déroule à toute vitesse, entre situations imprévues et personnages mi-attachants, mi-décapants. Un vrai régal qu’on savoure jusqu’à la dernière goutte ! »
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Rouge Écarlate de Jacques Bablon lu et approuvé par La Cause Littéraire
« Un soupçon de parfum de James Ellroy, côté style, du Bablon pur jus, côté histoire. Libre, créatif et casseur de codes de romans noirs, Jacques Bablon invente une manière de raconter extrêmement riche, subtile et déconcertante pour tous les amateurs du genre. C’est extrêmement bon et réjouissant à prendre par les temps actuels.»
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Rouge Écarlate de Jacques Bablon par Encres Vagabondes
« Nous sommes dans un endroit où il y a au moins un champ de fraise en bord de mer avec ses mouettes, nous sommes dans le règne animal aussi cruel que ce monde de dingues… Nous sommes dans une histoire haletante où le paragraphe court un cent mètres en anaérobie. Nous sommes dans un beau roman, sérieux et comique, l'amateur de polar y trouvera son plaisir. »
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Rouge Écarlate de Jacques Bablon par K-Libre
« Véritable mosaïque de vengeances à tiroirs et de coups en vache ou se mêlent folie froide et crime organisé… le rythme est rapide, parfois cinématographique, avec des phrases coup de poing qui peuvent être réduites à une succession de mots. Rapide... presque frénétique… une réussite à coup sûr ! »
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de BLACK NOVEL
« Je ne vais pas vous conseiller de le lire, je vous DEMANDE de le lire. Un roman avec des fulgurances, de ces phrases qui frappent comme des évidences, de ces traits de poésie qui font d’un simple polar un livre de chevet. Jacques Bablon a écrit un grand livre, et qu’il vous plaise ou non, il va vous secouer… Il y a du James Sallis dans ce roman… Ce qui est remarquable dans ce roman, dans ce premier roman, c’est surtout ce style sans concession, fait de phrases courtes, de style haché, de descriptions faites d’un seul adjectif, de ce choix judicieux de chaque mot, de cette volonté revendiquée de l’efficacité à tout prix. »
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de BOB POLAR EXPRESS
« Trait bleu » est servi par un style qui se veut rebelle, hardi et cadencé par des dialogues qui bousculent. Une belle alchimie, dont on ne peut se défaire, qui transforme le pognon en plombs portée par un auteur qui file des coups de canif à la convenance puis laisse digérer le lecteur hagard qui en redemande.»
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de Collectif Polar
« Foncez et découvrez cette OLVI de toute urgence… On va traverser des grands espace, rencontrer des personnes peu recommandables… On ai dans un roman noir. Noir mais atypique. Il tient parfois du conte philosophique. On va vivre à cent à l’heure, nos certitudes vont-être bousculées, nos repaires n’existeront plus. Le style, les mots, la poésie qu’il en ressort, vont tout ravager sur leur passage. Et on va traverser cette histoire à tout berzingue, en retenant notre souffle. J’ai été happée par l’écriture de Jacques Bablon…»
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de France Net Infos
« Un talent fou… Trait Bleu se lit d’une traite, d’un souffle, impossible de laisser en suspens ce récit, la vie de cet américain moyen trimballé entre bonnes et mauvaises surprises. Ce pourrait être un très bon sujet pour le prochain Tarantino, tant l’écriture est imagée et ciné génique… Un polar comme on les aime, qui nous colle une bonne droite et nous offre un délicieux caramel de la main gauche… »
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de Goliath
« Du jubilatoire pour les amateurs du genre : c’est un polar bien sombre, méritant le titre de polar noir, qui ne va qu’à l’essentiel ! Un roman décoiffant, tout à fait déjanté qu’on prend plaisir à lire en regrettant qu’il ne fasse que 150 pages »
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de Joël Jegouzo
« Quel art de raconter ! Littéralement éblouissant ! En ligne droite. Quel roman, jamais embarrassé de considérations psychologisantes, ouvrant au chant des crapauds sans donner rien d’autre à entendre que le chant des crapauds et la rusticité, la simplicité fruste de personnages si bien ancrés dans ces petites choses bêtes de la vie. De la pure poésie. Quelques éléments, un pick-up, une ferme vide, une canette de bière. Cela suffit à dire le monde qui est le nôtre, inexplicablement buté. Et puis encore : c’est d’un drôle »
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de La Cause Littéraire
« Un roman noir intense avec son lot de rebondissements, d’embrouilles, de cadavres, de chasse à l’homme, de sévices, de vieilles caisses pourries, de musique country, de dingues prêts au pire pour récupérer leur fric, de personnages atypiques, de femmes musiciennes, légères, inconséquentes et d’autres plus maternelles et d’animaux aussi… des rats, des cochons, une poule… Les lieux qui abritent les humains, maisons, caravanes, sont dévastés ou bouffés par la rouille et s’opposent à la beauté d’un environnement naturel, généreux, pur et régénérateur un roman qui flirte de manière humoristique, et là n’est pas son moindre intérêt, avec la psychiatrie. Roman noir décalé, superbe réussite, Trait bleu n’aurait pas à rougir d’un possible sous-titre… On serait enclin à choisir « Sauve-toi, la vie t’appelle » (1), comme l’écrivait si bien Boris Cyrulnik. »
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de MEDIAPART
Trait bleu est un roman très fort, qui s’inscrit dans la mythologie du noir américain pour la détourner… L’auteur refuse l’Amérique réelle en lui préférant une Amérique littéraire dont il joue avec les codes pour en faire un objet rare, aussi original que percutant. Un nouvel auteur, à découvrir absolument ! »
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de Passion Polars
« Il y a des romans, lorsque vous les entamez, vous savez immédiatement, dès les toutes premières phrases, que vous tenez entre les mains un « putain » de bouquin qui va vous faire prendre un pied d’enfer. « Trait bleu » de Jacques Bablon est incontestablement de ceux là ! Jacques Bablon envoie du bois ! et du gros ! Pressé, il va direct à l’essentiel et nous barbouille une histoire du feu de dieu, où les anges n’ont pas leur place, mais où les enfants du bon dieu ont tendance à se faire voler dans les plumes. C’est redoutablement efficace, ça a du punch, ça percute et ça dépote grave ! Un roman qui fuse comme une balle. Un rail de 150 pages de pur bonheur… Au final… et bien au final, c’est effectivement un putain de bouquin ! »
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de Paul Maugendre
« Avec une écriture bourrue, rugueuse, râpeuse, drue, Jacques Bablon nous entraîne avec énergie dans les pérégrinations de John Doe dans un langage savoureux, nerveux tout comme l'est son héros. Le comique côtoie le tragique, selon les circonstances. C'est violent et tendre à la fois, le double effet qui s'coue.»
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de Unwalkers
« l’immense réussite de ce nouveau Jigal tient dans le style léger mais élégant… tant au niveau de l’immédiate empathie que dans la désinvolture avec laquelle les héros abordent des événements qui empêcheraient de dormir le citoyen lambda. que nul ne passe à côté de ce bijou champêtre.»
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de Unwalkers
« Un excellent roman noir déjanté… une histoire de rendez-vous ratés avec la mort, le meurtre et la prison… une galerie de personnages tous un peu à l’ouest. Un roman à se garder pour un moment où on se sent un peu morose, roboratif à souhait ! »
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de Laurent Greusard pour K-LIBRE
« Chapeau bas… Jacques Bablon (ou alors c'est le pseudonyme d'un certain Jack Bablon) nous convie à une virée au milieu des petits blancs paumés de l'Amérique profonde. Un texte maîtrisé, version intelligente - copie parfaite, fidèle mais personnelle -, d'un polar rural américain. Il a, qui plus est, le bon goût d'une fin optimiste et crédible, et a ainsi affûté ses armes pour, nous l'espérons, de futurs duels. »
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique de Patrick C. pour Quatre Sans Quatre
« Ce polar, surprenant, est un morceau de rock speed où les personnages s'agitent sur une section rythmique dingue. L'écriture est tellement cinématographique que l'adaptation ne devrait pas nécessiter trop de taf pour fixer cette histoire sur grand écran. Un excellent roman, atypique, riche, furieux, dingue comme un jeune chien… »
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique du Cannibal Lecteur
« Si je devais décrire ce roman noir en peu de mots, je dirais : fou, déjanté, OLNI et jouissif. Dans ce roman, tout le monde est un peu à la masse ou à la ramasse avec quelques cas sociaux qui finissent par nous donner la pêche et auxquels on s’attache. C’est court, c’est vite lu, c’est intense comme un expresso et c’est jouissif !»
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique du Nyctalopes
« D’ une écriture racée, directe et viscérale, Jacques Bablon nous emporte dans ce road trip sans but évident. Au fil de l’écrit les portes s’ouvrent, la trame prend sens. La lecture de Bablon est un combat sur un ring sans cordes ni arbitre , notre ressenti est un assentiment sincère à ses estafilades prosaïques. »
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique du Temple du Polar
« Trait bleu » un polar dont le goût acide est de nature à captiver les puristes du genre… Cet opus représente donc une invitation au voyage, dans un univers désenchanté où l'espoir n'est pas loin de renaître, si l'on y regarde de plus près... Un livre à savourer sans modération, d'autant plus que l'ambiance et le talent de l'auteur sont à prendre en considération.»
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique du The big blowdown
« Un roman qui se lit d’une respiration, très noir, glauque et poisseux, fait de phrases courtes, abruptes, des mots qui visent juste et frappent fort. Ce roman court et intense, fort et nerveux est une véritable réussite, et un très bon moment de lecture. »
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon la chronique du blog des 8 PLUMES sur L'EXPRESS
« Un roman déjanté qui déménage… Un détachement, de la désinvolture, un vrai style roman noir, bien poisseux, un truc qui vous colle à la peau et ne vous lâche plus comme ce livre qui, une fois ouvert, empêchera toute velléité de le quitter avant la fin. De l’efficace, du jouissif, un pur plaisir de lecteur amateur de polar…»
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TRAIT BLEU de Jacques Bablon POLAR REMARQUABLE 2015 du Collectif Polar
« Un roman noir atypique qui tient parfois du conte philosophique.
On va vivre à cent à l’heure, nos certitudes vont-être bousculées, nos repères n’existeront plus. Le style, les mots, la poésie qui en ressortent, vont tout ravager sur leur passage. Jacques Bablon nous livre là une véritable pépite.»
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UNE NUIT TROP DOUCE POUR MOURIR de Maurice Gouiran la chronique du RAYON POLAR
« Le propre d'un romancier, c'est de toujours étonner, surprendre, prendre son lecteur fidèle à contre-pied, et de l'entraîner vers des rivages auxquels il ne s'attendait pas aborder. Maurice Gouiran délaisse quelque peu l'Histoire plus ou moins récente pour s'attaquer, via le biais de meurtres à la façon de Jack l'Eventreur, à des questions d'éthique et il laisse au lecteur le soin d'apporter une réponse qui ne sera jamais satisfaisante, malgré les prises d'opinion catégoriques d'hommes et de femmes, souvent politiques, qui œuvrent dans la démagogie. »
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VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS de Gilles Verdet la chronique Unwalkers
« Un souffle de printemps sur le monde du polar… Une bien belle histoire, avec un belle plume poétique pour un polar. Dans un paris superbement décrit par cette plume légère qu’à l’auteur, il nous emmène dans un bon polar, tranquille pas de monstres, de sociopathes, juste la vie qui fait que…»
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VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS de Gilles Verdet la chronique de Au Pouvoir Des Mots
« Gilles Verdet est un poète. La plume cisaille, elle tranche et la ligne suivante, elle caresse. Une plume légère qui magnifie chaque description et qui contraste tant avec la violence du récit. Et quelle plume ! Où Jigal vont-ils chercher leurs auteurs ? Chaque livre découvre un auteur singulier et là encore, Gilles Verdet possède un style isolé et étonnant. »
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Voici le temps des Assassins de Gilles Verdet la chronique de Black Novel
« Ce roman est un pur plaisir de lecture un pur joyau des mots, un éclat naturel et noir, brillant dans un ciel gris… c’est de la poésie pure, c’est un roman où se cachent des vers qu’aurait oublié Baudelaire, c’est une pure merveille qui nous montre combien le beau est triste. Dans le ciel du polar, brille une nouvelle étoile noire. Magnifique. »
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VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS de Gilles Verdet la chronique de Jack Is Back Again
« À quel tour de passe-passe les Éditions Jigal ont-elles recours pour dégoter ainsi des auteurs au talent fou ? Gilles Verdet emporte tout sur son passage. Une plume unique, une écriture flamboyante, une maîtrise absolue de la langue française. C’est bon, savoureux, ça fond sous les yeux comme une pièce de viande charolaise sous la langue. »
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VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS de Gilles Verdet la chronique de Joël Jegouzo
« Gilles Verdet nous menant dans ce Paris de la semaine sanglante régler les mauvais comptes des années 70… Car ce qu’il interroge, c’est ce désir de liberté qui a accouché de monstres… Une sale histoire finalement, de paumés des temps utopiques, orphelins d’une rébellion qui n’a pu se muer en révolte et dont les enfants finissent today d'en achever leurs comptes à la kalachnikov… »
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VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS de Gilles Verdet la chronique de Velda pour Le Blog du Polar
« Quand le polar flirte avec la poésie... Gilles Verdet écrit comme un orfèvre. Il soupèse ses mots-joyaux, les enchâsse dans leurs phrases de métal précieux, sait que décrire une action n'est pas incompatible avec la beauté… Il écrit avec gourmandise, âpreté… Et l'histoire tragique qu'il nous raconte, avec sa fin aussi amorale que romantique, va vous laisser ému, troublé, vaincu. »
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VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS de Gilles Verdet LA SÉLECTION DE L'ÉTÉ pour France Net Infos
« On est happés par la plume de Gilles Verdet, mais quel talent de conteur… Il se sert des mots comme un peintre d’une palette de couleurs pour dépeindre les paysages urbains, les ambiances, les sentiments des personnages. Pour frissonner sur la plage… A lire pour ce magicien des mots servant une histoire à se faire dresser les cheveux sur la tête. LE polar de l’été sans conteste… »
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