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Actu J'AI FAIT COMME ELLE A DIT de Pascal Thiriet la chronique de la Tribune Côte d'Azur
« Le cocktail est imparable…» |
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Actu
Au Nom du fric de Pascal Thiriet la chronique d'Yv pour Lyvres
« la langue elle reste vive, dynamique, très accessible et met en valeur ses personnages et les valeurs -même (et surtout) pourries- qu'ils défendent. Sa patte est reconnaissable, par la plume qu'elle tient mais aussi par la construction du roman avec les deux héros Sun Tzi et Blasphème, exécuteurs des basses œuvres qui se protègent, elle qui mène la danse et lui, amoureux qui la suit aveuglément (un peu comme Enée et Dido dans le roman précédent). Le renouvellement en gardant les principes de base pour un excellent roman.»
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Actu
Au Nom du fric de Pascal Thiriet la chronique de CASSIOPÉE
« Pascal Thiriet n’hésite pas à bousculer la hiérarchie… il secoue le « politiquement correct » Ces personnages pourris jusqu’à la moelle ne connaissent sans doute pas le mot morale… Un style, délicieux… et… effronté… Une écriture riante, vive, dotée d’un humour qui fleure bon le cynisme utilisé à bon escient »
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Au Nom du fric de Pascal Thiriet la chronique de Quatre sans Quatre
« Le bal des charognards est ouvert... Le monde impitoyable de la Phynance au travers les jeux olympiques du vice boursier organisés par Hercule du Tylleux afin de savoir lequel de ses deux fils prendra seul en main le destin de son empire. Un ton unique, sarcastique, drôle mais aussi une étude de moeurs puissante dans un polar tonique et palpitant. Le cynisme des uns face à la rouerie des autres, les lois et autres foutaises au panier, un très grand moment d'acide rigolade. »
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Au Nom du fric de Pascal Thiriet la chronique de Wollanup pour Unwalkers
«Il faut voir « au nom du fric » et le titre est très bien trouvé, comme un grand pamphlet contre les puissants du monde qui s’allient pour engraisser leurs comptes en banque au détriment des gens ordinaires qui ont bien du mal à finir les mois tout en travaillant comme des esclaves modernes… La fin est totalement furieuse et confirme un talent déjà entrevu chez Pascal Thiriet . Un jeu de massacre réussi…»
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FAUT QUE TU VIENNES de Pascal Thiriet la chronique de GOLIATH
« Sur un ton jubilatoire très politiquement incorrect, Pascal Thiriet nous entraîne dans un tourbillon toujours à la limite du raisonnable… Moins extraverti que San Antonio mais plus souriant que Camilla Lackberg, ce roman s’inscrit dans la liste des livres dont on se souviendra… »
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FAUT QUE TU VIENNES de Pascal Thiriet la chronique de Jeanne Desaubry
« Attention, n’allez pas croire à du n’importe quoi :l’apparente fantaisie de ce roman recèle beaucoup de rigueur et la véritable expression d’un écrivain. Un vrai. Humour, fantaisie, audace : Thiriet nous fait rire, grimacer, s’interroger… Jugez-en : les prénoms des personnages ne sont pas juste dus à une volonté d’étaler une quelconque culture hellène : ils ont une signification profonde qu’on découvre au détour d’une page, une fantaisie certes, mais en clin d’œil signifiant. Encore un pour la route, siouplait, M’sieur Thiriet… »
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LES 12 JIGAL POLAR(S) de L'ÉTÉ
« On savait les Editions Jigal occupés à tracer leur petit bonhomme de chemin dans la jungle de l’édition policière. Force est de constater qu’elles progressent désormais à marche forcée, alignant les bons livres comme les mauvais garçons multiplient les crimes. » BSC NEWS
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SOIS GENTIL, TUE-LE de PASCAL THIRIET par BOOJUM
« Réduisant l’art à l’essentiel, Sois gentil tue-le est fait du caractère bien trempé des loups solitaires qui n’ont de temps à perdre en palabres inutiles. Pascal Thiriet va à l’essentiel et vous dévorerez ou vous délecterez de son roman comme un goéland avale une crevette croustillante et moelleuse à cœur mais avec un petit verre de vin blanc ! »
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SOIS GENTIL, TUE-LE de PASCAL THIRIET par K-LIBRE
« Sois gentil, tue-le est un livre sec, court, nerveux, tendu, pétri d'humanité… Pascal Thiriet nous prend par la main et nous emmène sur son bateau, pour une croisière forte et sans escale avec une lecture tout en immersion.»
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SOIS GENTIL, TUE-LE de PASCAL THIRIET par L'ATELIER DE LITOTE
« Une seule voix pour ce roman noir original qui nous donne à voir le parcours d’un homme pas comme les autres. Un pêcheur. L’auteur sait faire vivre son personnage, il lui donne les mots et les expressions. Il en fait quelqu’un de solide et de franc. J’ai trouvé ce récit prenant, il peut se lire d’une traite tant on reste embarqué aux côtés de ce marin hors norme.»
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SOIS GENTIL, TUE-LE de PASCAL THIRIET par LES CHRONIQUES DE GOLIATH
« Totalement dénué de morale, ils voguent jusqu’en enfer pour une rédemption. Un roman sauvage, violent et tendre. Pascal Thiriet ne fait pas dans la dentelle, c’est brut de décoffrage, c’est violent dans l’action, tendre dans l’esprit ! Un livre qui touche par sa tendresse, mais qui choque par sa violence. »
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SOIS GENTIL, TUE-LE de PASCAL THIRIET par LYVRES
« Court roman, dans lequel tout est direct, va à l'essentiel. Efficacité, rapidité priment dans cette histoire. Thiriet ne s'embarrasse pas d'à-côtés, de digressions. D'aucuns nomment ça un roman à l'os, qui va droit au plus profond dans lequel les personnages sont avant tout des Hommes qui vivent en interaction avec d'autres, et même si le dialogue, les ronds-de-jambes ne sont pas leur fort, ils ressentent, aiment ou détestent… »
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SOIS GENTIL, TUE-LE de PASCAL THIRIET par PASSION POLAR
« Sois gentil tue le est un roman de peu de mots. Pascal Thiriet nous offre là le genre de roman que j’aime à lire. Fondamentalement centré sur l’humain, allant directement à l’essentiel, avec une écriture sèche, des dialogues brefs, qui servent une histoire sombre, mais qui en même temps, laisse entrevoir une pour ses personnages, une lumière. Un espoir que peut être, pour eux aussi, le bonheur est possible. Très joli roman que signe donc un Pascal Thiriet toujours aussi inspiré… »
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SOIS GENTIL, TUE-LE de PASCAL THIRIET par CASSIOPÉE pour MEDIAPART
« Ce livre m’a bouleversée, l’écriture particulière, atypique m’a conquise, elle m’a touchée au plus profond. J’avais l’impression que Pascal, le marin, me parlait, j’entendais ses silences, j’écoutais attentivement chacun de ses mots, je sentais parfois son haleine un peu alcoolisée, je crois même que j’ai touché ses mains rugueuses pour le rassurer… »
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